LA
GENESE
Ce texte est tiré
d'un passage de La planète démasquée et d'un chapitre du trésor des
Cathares.
L’ancien testament de
la Bible se trouve être la partie commune à toutes nos religions où ce premier
chapitre, appelé la Genèse, nous raconterait l’histoire de l’origine de
notre humanité.
On ignore d’où provient
précisément cette connaissance qui a été retranscrite bien plus tard, après
avoir été transmise oralement jusqu’à l’apparition de l’écriture. Si l’on s’en
réfère à ce qui y est décrit, on retrouve effectivement un peu partout à travers
le monde, des preuves historiques, géologiques, archéologiques, ainsi que des
légendes qui permettraient d’avancer l’hypothèse que cette histoire pourrait
être vraie.
Il est nécessaire d’arriver à
faire abstraction de ses connaissances et croyances religieuses afin de pouvoir
cerner quelle est la part de vérité dans ce texte, et de rester ouvert à toutes
possibilités afin d’aborder cet écrit sous tous les angles possibles sans ne
rien laisser au hasard.
Le texte dit qu’au commencement,
Dieu créa l’homme a son image, puis ensuite la femme et qu’il leurs donna un
paradis terrestre.
Ce type d’explication du
début de notre Histoire est décrit à peu près de la même manière sur toute la
surface du globe par les anciennes civilisations et c’est à Ceylan que l’on va
retrouver une légende troublante mais très similaire. C’est sur cette île que
furent introduits le premier homme et la première femme qui se nommaient
respectivement Adima et Héva, mais contrairement à ce que nous dit la Genèse,
ceux-ci venaient d’ailleurs et Dieu leur donna cette île pour qu’ils restent
vivre sur terre et peuplent la planète. Voici déjà ici, une première
similitude frappante avec nos Adam et Eve ! Adami posa la première pierre
d’un temple que les anges continuèrent de construire afin d’y déposer douze
tablettes de bronze; Celles-ci étaient, semble-t’il, gravées d’une écriture
extrêmement fine et inconnue qui raconterait cette histoire, ainsi que tous les
secrets de la Connaissance et du Savoir.
Les Egyptiens prétendaient eux
aussi détenir des informations divines identiques qu’ils nommaient la
Science de Thôt, et que l’on a longtemps pensé être stockées sous forme
de parchemins ou de tablettes, dans une pièce mystérieuse située sous le
Sphinx.
Curieusement, on remarquera que
Moïse avait lui aussi reçu des mains de Dieu, les fameuses Tables de la
Loi, qui après avoir été enfermées dans l’Arche d’Alliance, se
seraient retrouvées dans le temple de Salomon à Jérusalem. C’est Ménélik
Ier, fils de Salomon et de la reine de Sabba, qui les aurait emmené dans
l’Arche jusqu’en Ethiopie où il venait d’être nommé roi par son
père.
La première conclusion que l’ont
peut tirer de tout cela, c’est que si Dieu a réellement créé l’homme a son
image, il n’a sûrement pas créé un singe ! La deuxième remarque, est que les
datations sont très difficiles à faire avec la Bible et c’est avec les légendes,
mais surtout avec les progrès et les capacités de la science, que l’on va
pouvoir sans doute avancer des dates un peu plus réalistes.
Si l’on s’en réfère aux légendes
asiatiques, Adima et Héva seraient sans doute arrivés sur terre aux environs de
-15000 ans avant notre ère, et si ces histoires avaient un fond de vérité, nous
ne descendrions ni de Cro-Magnon, ni de
Neandertal. Scientifiquement, il est prouvé que la race
Néandertalienne était vouée à disparaître étant donné le peu d’individus, et il
en aurait été sans doute de même un peu plus tard avec
Cro-Magnon. On sait aussi aujourd’hui que Neandertal et
Cro-Magnon n’étaient pas génétiquement compatibles, alors que tous deux
descendraient du singe ! Enigme...
Si l’on continue avec la Genèse,
on permet de remonter ainsi d’Adam à Hénoch. Ce dernier aurait rencontré les
anges à qui il aurait procuré à leur demande, plusieurs dizaines de jeunes
femmes vierges afin de les prendre pour épouses et de leur faire des
enfants, ce qui est entre autre confirmé par le chapitre VI de la
Genèse, où il est spécifié que ces descendants seront << ...les héros
des temps jadis, ces hommes fameux ! >>.
Nous obtenons par ce récit deux
preuves importantes, qui sont : Les Anges ne sont ni asexués, ni surnaturels,
comme on a voulu le laisser croire. Les Anges sont des êtres génétiquement
compatibles avec nous.
Mais l’aventure ne s’arrête pas
là, puisque dans ses récits, Hénoch nous fait savoir qu’en remerciement pour les
différents services rendus, Dieu lui a fait visiter son vaisseau avec lequel ils
sont allés faire un tour dans le système solaire. C’est comme cela qu’Hénoch
explique ce qu’il a vu, dans des textes classés apocryphes, puisque la
crédibilité de ce personnage illustre a été remise en cause.
Ultérieurement, on peut trouver
aussi le récit d’Ezéchiel qui explique lui aussi sa vision du char de
Dieu, ainsi qu’un descriptif assez précis des Anges qu’il est
amené à rencontrer.
Ce type d’observation se
retrouve dans bien d’autres textes sans rapport les uns avec les autres, puisque
issus de peuples et de périodes différentes (Mayas, Indiens, Egyptiens,
etc.). Plus tard, toujours en suivant les textes de ce chapitre de l’ancien
Testament, nous retrouvons Noé, dont tout le monde connaît l’histoire du
déluge. Dans cette aventure, c’est
grâce à l’histoire, l’archéologie ainsi qu’à la géologie qu’il est possible de
dater plus précisément cette catastrophe.
On retrouve dans les sous-sols
de la mer noire des couches de sédiments qui ne correspondent pas à de l’eau de
mer, mais à de l’eau douce; autrement dit, il y a 9500 ans la mer noire était un
lac et c’est en l’an -7500 que la Méditerranée a débordé à la hauteur de la
Turquie pour envahir toute cette région, transformant ainsi cette plaine et le
lac, en mer.
C’est une montée anormale des
eaux (plusieurs dizaines de mètres) qui s’est étalée sur quelques dizaines de
décennies qui en serait la cause et qui expliquerait que l’on retrouve encore de
nos jours, des cavernes préhistoriques en dessous du niveau actuel de la
mer. Cette anomalie se retrouve dans d’autres pays du bassin méditerranéens
et expliquerait aussi les traces d’érosion marine sur les flanc du Sphinx,
prouvant par la même occasion que celui-ci existait déjà à l’époque du
déluge. Pour en revenir à Noé, ce brave homme ayant écouté les
conseils de Dieu, édifiât une péniche pour sauver un échantillonnage d’animaux
ainsi que les membres de sa famille. Lorsque le niveau des eaux est
redescendu, il alla s’échouer sur le mont Ararat qui est le point culminant de
la Turquie. Cette aventure n’est pas unique, puisque là aussi, on retrouve
dans différentes régions des descriptifs relativement semblables qui relatent
non seulement la catastrophe, mais aussi le sauvetage d’espèces animales par un
homme dont le nom change en fonction du pays, chaque partie du globe ayant eu
son Noé local.
Les versions asiatiques font
volontiers appel à des vaisseaux volants conduits par des dieux
ou par leurs fils, lesquels seraient restés vivre parmis les hommes après
leur réintroduction sur terre.
C’est ainsi que de chapitre en
chapitre, la genèse nous amène à l’histoire énigmatique de Moïse, cet enfant
dérivant sur les eaux du Nil, et recueilli par une fille de pharaon (Ramsès II),
qui grandira en âge et en sagesse dans le palais royal afin d’y être instruit
par les grands prêtres comme l’étaient les autres enfants du
souverain.
L’histoire de Moïse dont
dérivent la religion juive, le christianisme et plus tard l’Islam, ne se vérifie
pas dans les traductions égyptiennes que l’on a pu faire jusqu’ici. Ni ce qui
concerne sa vie auprès de pharaon, ni sa fuite avec les hébreux ou encore
les fameuses plaies d’Egypte envoyées par Dieu, n'a pu être vérifié. A ce jour,
il n’a pas été possible de retrouver quelques éléments qui confirmeraient cette
partie de l’histoire. S’il y avait eu des catastrophes quelconques, on pense
que cela aurait été écrit parmi les différents textes déjà retrouvés et
traduits, mais absolument rien n’y fait mention.
Il est tout de même curieux de
constater que Moïse, ayant été élevé dans la connaissance des Grands
d’Egypte, aurait dû connaître les mathématiques, l’astronomie et bien
d’autres matières. Par voie de conséquence, il aurait donc dû savoir que
pour se rendre en Palestine, il suffisait de suivre la côte
méditerranéenne. Or, d’après ce que nous savons par les textes de la Genèse,
il est allé se perdre au mont Sinaï alors que celui-ci n’est pas du tout sur le
trajet et qu’il faut le faire exprès pour se retrouver aussi loin. C’est à
cet endroit que Dieu lui aurait remis les Tables de la Loi que personne
n’a jamais vu, et qui encore aujourd’hui sont un mystère, quand à leur existence
et surtout leur contenu.
Si l’on s’en réfère à
différentes légendes, celles-ci étaient enfermées dans l’Arche
d’Alliance, car il était dangereux de les regarder ! Personne ne
devait les voir ! Les tablettes d’Adima et Héva apporteraient le Savoir,
la Connaissance et la Vérité concernant notre humanité, tout comme le
sont les crânes de cristal qui
seraient au nombre de douze (mais il y en aurait sans doute
treize) et dont huit exemplaires ont déjà été retrouvés sur différents
continents.
Les mystérieuses tablettes de la
Science de Thôt n’ont toujours pas été découvertes en Egypte, pas plus
que l’entrée de la bibliothèque secrète du Sphinx. Les Hiéroglyphes n’ont été
compris que partiellement et l’on ignore encore aujourd’hui la raison exacte de
l’édification des pyramides.
En Inde, la Bible
tibétaine, base du Bouddhisme, aurait été rédigée dans une écriture inconnue et
serait, elle aussi, une révélation qui devrait être faite à l’humanité en temps
et en heure !
Il existe aujourd’hui partout
dans le monde, des objets de différentes formes et dont la fonction est encore
inconnue, qui attendent que nous soyons prêts à comprendre ce qu’ils ont à dire,
pour enfin faire éclater la Vérité au grand jour.
Ce jour s’appelle dans toute les
langues l’Apocalypse, c’est à dire : la
Révélation.
L’ancien testament de la Bible
est un ouvrage composé au fil du temps, de différents écrits dont certains sont
de provenance inconnue. Il n’est pas impossible que certains passages de la
Genèse soient des traductions partielles de ces textes ancestraux gravés sur
tablettes de bronze ou de pierre, mais qui auraient été mis en lieux sûrs en
attendant le jour et l’heure où ils doivent faire leur
réapparition.
Tout les récits religieux ou
non, mentionnent le retour sur terre des dieux ou de Dieu, ainsi que des anges
comme l’explique Saint Jean dans son Apocalypse où l’Agneau
brisera les douze sceaux. Encore le chiffre douze !
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