Dans la partie supérieure de l'horloge se trouve le cadran horaire, mais
dans le coin supérieur droit du meuble il y a aussi un cadran solaire et dans
l'angle opposé, un cadran lunaire. Nadine a trouvé la raison de la présence d'un
cadran solaire et je vous l'expliquerai en temps voulu !
Mais, poursuivons: Au dessus de la corniche supérieure qui termine l'horloge il y a
en son centre un être étrange comme le sont les gargouilles de certaines
cathédrales qui servent de reposoir aux pigeons de passage.
Mais je voudrais revenir
un instant sur le cadran horaire qui présente plusieurs particularités; Son
centre est en porcelaine peinte à la main imitant à s'y tromper du lierre ou de
la vigne vierge !
Les heures sont gravées dans le bois à l'exterieur du
cadran et représentées non pas par des chiffres mais par des signes qui forment
en quelque sorte un assemblage de points dont le centre de chaque groupe est
divisé en deux par une ligne droite, courbe ou brisée.
Sous le cadran horaire il est gravé à l'horizontale la
phrase roumaine suivante: << toutes blessent, la dernière tue
!>>
Mais le plus énigmatique est encore la sonnerie qui n'est pas une
clochette mais un gong que vient heurter un marteau métallique deux fois en vingt
quatre heures !...
Oui, cette horloge ne sonne que deux fois par jour, la
première à six heures six minutes et six secondes, et l'après midi à dix-huit heures
six minutes et six secondes !...
Denis Gaillard qui a exploré le mécanisme avec moi
a bien constaté que cela avait été prévu ainsi !... Ce n'est donc pas
le hasard ni une anomalie !... C'est voulu !...
Le mécanisme
d'horlogerie est d'une grande précision et l'autonomie du remontoir est très
importante (pratiquement une semaine).
C'est après toutes ces
constatations que va démarer notre enquête à l'affût de renseignements en tous
genres qui pourraient nous permettre de découvrir le pourquoi du
comment.
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Nadine a eu tout de suite une petite idée
sur la question qu'elle a communiquée à Denis pour lui permettre d'orienter ses
recherches plus rapidement dans une direction bien précise: Les anciennes légendes
Tziganes !...
Mais nos surprises n'allaient que commencer
!...
Nadine nous a fait savoir qu'elle avait
retrouvé par l'intermédiaire de la bibliothèque de Bucarest, des incunables qui
traitent principalement des histoires occultes de la Roumanie et des
légendes des Tziganes.
Ce peuple aurait émigré de l'Inde vers l'Iran puis
l'Arménie, et les pays caucasiens vers le IX° siècle pour arriver enfin en
Hongrie, Roumanie et Russie vers le X° siècle. Leur langue est très voisine du
Sanskrit mais ne s'écrit pas et ce sont dans des ouvrages roumains du XV° siècle
que l'on va retrouver trace de leur passage, de leur histoire et de leur
croyance.
C'est une étoile qui serait à l'origine de leur long voyage jusqu'en
Europe et qui, d'après les écrits, serait un signe des dieux
!
Plusieurs recoupements permettraient
d'affirmer que ce serait Shératan dans la
constellation du Bélier.
Les cycles de cette étoile par
rapport à la terre seraient de 98 ans et ce nombre d'années correspondrait assez
bien aux différentes périodes de déplacements de ces populations.
Mais Nadine
vient compléter ces informations en nous affirmant que dans certaines légendes
Indiennes cette étoile tenait une place importante comme dans les croyance des
Indiens d'Amérique et qu'il n'est pas exclu que l'origine de ces peuples soit la
même, les uns étant passés par l'Iran, l'Arménie, etc... et les autres par la
Chine, le Nord-Est de la Russie et le détroit de Béring pour redescendre enfin
par le Nord de l'Amérique.
De récentes études morphologiques et
génétiques confirmeraient cette hypothèse !
Les croyances, qui pourraient être assimilées
à une religion, feraient ressortir une très bonne connaissance de l'être humain
et des aspects ésotériques qui en font partie.
Le Moi, le double du
Moi ,
le corp astral, l'esprit, font partie de cette philosophie de vie fortement
ancrée depuis des millénaires et que l'on retrouve aussi dans l'Hindouisme
Tibétain.
Beaucoup de phrases retrouvées dans les incunables roumains sous
forme de citations, font appel à des connaissances ésotériques très pointues,
qui ne peuvent être issues que d'un enseignement très complexe comme
l'hindouisme.
On y
trouve par exemple l'anotation suivante: << Quand l'oeil
verra ton heure, les forces du ciel et de la terre s'uniront au milieu du temps,
pour t'apporter dans un éclair cristallin, la puissance régénératrice des êtres
de lumière.>>
Cette citation se retrouve en gros
caractères en début d'un chapitre traitant justement de la possibilité d'une
deuxième vie ! Ce sont peut être ces récits qui ont inspiré voire initié le
Comte de Saint Germain !... Qui sait ?...
Je
vous expliquerai ce qu'il en retourne dans
un prochain texte !
C'est stupéfiant !...
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Pour faire suite à ce que je vous ai dit
précédemment, par recoupement avec d'autres textes, Nadine est arrivée à
retrouver un lien avec des explications citées par le Comte de Saint Germain, et
qui feraient appel à ses connaissances soit disant farfelues.
Il serait tout
à fait possible d'augmenter sa durée de vie à condition de pratiquer des
invocations très précises spécifiées dans les incunables roumains, et en se
servant d'un appareil dont les spécificités sont décrites dans un de ces
ouvrages !...
C'est la connection de notre corps éthérique avec l'énergie
cosmique qui permettrait de nous ressourcer et de prolonger ainsi notre vie
terrestre.
Mais cette gymnastique spirituelle n'est pas sans risque !...
En
effet,
pratiquée dans de mauvaises conditions ou avec un mauvais contrôle de son esprit,
l'énergie en question peut aussi tuer !...
Celà
serait il déjà arrivé volontairement ou
involontairement ?.... Nous avons de bonnes raisons de croire qu'une
expérience fut tentée le 06 Juin 1666, mais nous en reparlerons une autre fois,
car je ne voudrais pas vous faire perdre le fil de l'histoire
!...
J'ai retrouvé quelques informations qui
pourraient laisser penser que cette théorie de prolongement de la vie serait
possible si l'on pouvait capter et transformer l'énergie cosmique et téllurique
en les fondant en une seule et même énergie.
C'est la
fusion de ces deux valeurs qui aurait ce pouvoir surnaturel de modifier les
atomes du corp humain, ce dernier étant lui aussi pourvu d'une énergie qui lui
est propre mais dont l'origine est à la fois cosmique et téllurique
!...
Voilà donc quelques bribes d'explication que Nadine
est arrivée à nous traduire d'après l'un de ces fameux incunables roumains
!
Mais je vous concède le fait que l'on est pas beaucoup plus avancé
!....
Denis, de son côté est arrivé à obtenir des
renseignements concernant l'origine de la fabrication de cette horloge et m'a
fait savoir qu'il n'y a eu réellement que trois exemplaires de réalisés d'après
un original.
C'est un maître horloger hongrois qui les a faits, et c'est un
de ses ancêtres qui avait conçu l'original pour un Seigneur roumain de la région
de Bucarest; ce sont les plans de cette première horloge qui ont servi pour
construire les trois autres.
Les
schémas du mécanisme sont conservés encore aujourd'hui au musée de cette ville
et remonteraient aux alentours des années 1450.
Toutes ces informations que je vous livre en quelques
pages ont demandé en réalité plusieurs mois de recherches et certaines d'entre
elles n'ont obtenu de réponses qu'au bout de deux ou trois ans d'investigations
!...
Bref, je vous passe tous les détails !...
C'est le hasard
qui a bien fait les choses et qui nous a permis d'avancer soudain à grands
pas !...
Il y a quelques temps de cela, je recevais sur mon ordinateur
un E-mail d'un vieil ami, en la personne de Sergeï Galianov, que j'avais connu
en 1974 et avec qui j'étais resté en contact depuis.
C'est à cette époque où
je travaillais dans la recherche, que j'ai eu l'occasion de rencontrer ce savant
lors d'un congrès à Moscou, et nous étant retrouvés à la même table, nous avions
sympathisé.
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Sergeï Galianov travaillait à l'époque
comme physicien au CNRS de l'Union Soviétique et collaborait étroitement avec le
KGB dans le cadre de recherches dépendant de ses compétences.
Les discussions
avec lui étaient toujours passionnantes!....
Après avoir évoqué avec lui
quelques sujets qui ne vous regardent pas, je lui ai soumis cette énigme
concernant l'horloge, et quel ne fut pas ma surprise quand il m'a répondu qu'il
en avait déjà entendu parlé et qu'il allait se renseigner aussitôt auprès de qui
de droit.
Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, voilà que Sergeï
Galianov me recontacte quelques semaines plus tard pour m'annoncer que non
seulement il a la réponse à la question, mais que de plus il doit se rendre à
Grenoble pour une réunion et que ce serait l'occasion de nous
rencontrer.
Nadine et Denis avaient entre temps obtenu des
compléments d'informations qu'ils avaient glanés en France et à l'étranger, chacun
dans leur domaine !
Dernièrement nous nous étions retrouvés à
mon domicile pour faire le point et je vous livre ici ce qu'il en est ressorti:
Tout d'abord, les signes que l'on retrouve sur mon horloge à l'emplacement
des chiffres des heures, correspondraient à des représentations
graphiques et non pas à des mots, des voyelles ou des idées, comme cela pourrait
être le cas dans des langues asiatiques ou orientales.
Je vous donnerai
plus d'explications par la suite, car je souhaiterai commencer par le
fonctionnement de l'horloge.
D'après Denis, il n'existerait que trois
exemplaires identiques, dont l'un serait au musée de Bucarest, le deuxième à
Saint Petersbourg et le troisième en Hongrie mais provenant de Moldavie via la
Roumanie.
C'est donc bien celui de Hongrie que j'ai acheté, et ceci est aussi
confirmé par l'étiquette d'authenticité.
Le fabricant de cette horloge
ésotérique est en réalité un hongrois du nom de Karlowitz, qui en aurait réalisé
une pour un Tsar de Russie, une autre pour un aristocrate de Valachie et la
dernière pour un Comte Moldave membre de sa famille.
Pour ce que l'on sait,
cet horloger pratiquait certaines sciences occultes, et il est arrivé que celui
ci soit consulté par de hauts dignitaires, pour qui il effectuait des objets
mystérieux à la demande.
C'est comme cela qu'une horloge a appartenu
à un Empereur de Russie.
Nadine nous confirme alors que dans les
différents ouvrages datant de ces époques et provenant de la bibliothèque
Impériale, elle a effectivement retrouvé trace de la description du meuble
original, de son utilité et de son fonctionnement.
Bien
sur, cela n'était pas écrit en clair, et il a fallu faire appel à des
spécialistes que connait Sergeï Galianov pour déchiffrer les manuscrits s'y
rapportant.
Je ne rentrerai pas dans le détail complexe
qui a permis la traduction, mais je vais vous en donner le compte rendu.
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Tout d'abord, Nadine me disait que cette
horloge devait être positionnée dans la pièce à l'aide du cadran solaire; à midi
au soleil, celle-ci devait être orienté de telle manière que la tige centrale du
cadran solaire ne fasse aucune ombre, et ce n'est que dans cette position que
l'horloge était efficace.
Une fois ce meuble installé ainsi contre
un des murs de mon salon, nous nous sommes assis confortablement dans
le canapé afin de continuer la discussion dans de bonnes
conditions !....
Donc voici la suite de l'énigme: Il est dit que cette
horloge possède en elle les trois données fondamentales de l'être humain
:
Le soleil, puissance créatrice,
La terre, puissance
conservatrice,
Et la lune, puissance transformatrice
.
Cette triade explique déjà la
raison pour laquelle il y a trois cadrans et l'on retrouve ce principe de
trio divin dans le Brahman de la religion hindoue.
Il est aussi décrit en
langage imagé: << la force génératrice vient de la bête,
qui est à la fois créatrice du monde, et maître de la vie et de la mort.
>>
On retrouve
cette définition chez le dieu égyptien Apis, qui est représenté en
taureau, et qui est l'incarnation successive du dieu Phtah et d' Osiris . On y
voit aussi une triade, Apis, Phtah, Osiris
.
Nous avons à faire dans ce cas aux croyances
égyptiennes, dont le pays se trouve bien éloigné de l'Inde.
Si
l'on continue la traduction, il est mentionné plus loin dans cet ouvrage,
que << l'esprit viendra d'en haut, à l'heure exacte où les
chiffres se répètent. >>
.
Puis : << C'est la trinité dans
cette dualité qui donnera l'unité.>>
Ici,
l'on retrouve une allusion aux religions chrétiennes par la définition de la
Sainte Trinité en une seule et même personne, mais aussi l'image de la
dualité du bien et du mal, de l'ange et du démon, ou encore du yin et
du yang
chinois.
Maintenant, écoutez bien ce qui va suivre
!
Il est dit aussi : << Quand l'oeil verra ton heure, les forces du ciel et de
la terre s'uniront au milieu du temps, pour t'apporter dans un éclair
cristallin, la puissance régénératrice des êtres de lumière.>>
C'est cette
même phrase que Nadine avait retrouvé dans l'incunable roumain qui traite des
croyances et légendes Tziganes.
Ce qu'il faut d'abord savoir, c'est que
l'horloger était un féru d'ésotérisme, mais qu'il avait aussi acquis de solides
compétences en physique, chimie et surtout en parapsychologie.
On n'est pas arrivé à retrouver ses sources de
connaissances, mais l'on pense qu'il s'agirait de livres très anciens qui
seraient sans doute à l'origine de toutes les religions.
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Denis à qui j'ai communiqué l'E-mail de
Sergeï, s'est mis en relation avec celui-ci pour comparer leurs recherches afin
d'oeuvrer séparément mais de manière complémentaire pour être plus
efficaces.
Ils ont trouvé que
la bête à laquelle il est fait allusion, serait Apis
, le dieu taureau des égyptiens.
Si cette hypothèse est exacte,
l'oeil
dont il s'agit, doit être sans aucun doute l'oeil du
taureau.
Les égyptiens ayant comme référence Sirius pour
leur système de calcul, et Orion pour d'autres, mes amis ont cherché
dans ce sens, car il est spécifié que << l'esprit viendra d'en haut
>>.
Il existe en effet dans notre ciel, une
constellation proche d'Orion, portant le nom de Taureau et dont
l'étoile alfa se nomme Aldebaran
.
Or cette
étoile est appelée aussi l'oeil du taureau.
On a déjà maintenant un élément de la
réponse mais il faut garder à l'esprit que l'objet de cette énigme est une
horloge, et que certaines données doivent concerner ce meuble.
Le vrai casse tête est de comprendre ce que veut
dire, << c'est la trinité dans cette dualité qui donnera l'unité
>>.
Monsieur Karlowitz pratiquant régulièrement les
sciences occultes dans le cadre de son travail, a sûrement rédigé ce texte en
incluant un double sens, comme cela est souvent le cas, y compris dans les
religions.
On doit y trouver un sens caché et un sens
mathématique, et dans l'immédiat, c'est le second qui nous
intéresse.
Mes amis ont donc imaginé une triade de
chiffres, et le plus simple était de prendre l'heure qu'indique l'horloge quand
elle sonne (6h., 6mn., 6s.)
Si la trinité est six, six, six, la dualité doit
être deux, deux, deux, puisque six divisé par trois ( trinité) égale
deux.
D'où l'on peut en déduire que l'unité est un, un, un, qui donne par
voie de conséquence le chiffre cent onze.
Mais à quoi peut bien correspondre
ce chiffre ?
Ce sont les études informatiques du service
d'astronomie de Forcalquier qui vont nous amener la réponse grace au bras long
de Denis.
On sait que le cycle de Sirius est de 1460 ans pour que cette
étoile se retrouve exactement dans la même position, par rapport à un même point
fixe situé sur la terre.
Or, le cycle normal d' Aldebaran est de 111 ans et
son déplacement par rapport à notre planète se fait d'Est en Ouest.
Nos éminents scientifiques ont découvert que
si l'on positionne l'horloge de Karlowitz face au Sud avec l'aide du cadran
solaire, l'aiguille des minutes arrêtée à six heures et six minutes, doit
indiquer un point de l'univers situé sur la trajectoire exacte d'
Aldebaran.
Une fois tous les
111 ans, l'oeil du taureau doit se retrouver
dans l'alignement parfait de l'aiguille des minutes, et cela le matin avant le
lever du jour.
Des spécialistes russes en physique et en
parapsychologie se sont penchés sur cette hypothèse pour comprendre l'intérêt
qu'il y avait.
Je
vais vous expliquer la théorie fumeuse qui m'a été expliquée
par Sergeï lui-même; ça dépasse vraiment l'entendement humain
!....
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Au jour fatidique (tous les 111 ans)
dont la date reste encore à déterminer, il semblerait que cette aiguille des
minutes faite dans un alliage à base de bronze, serait capable à l'heure dite
(6h.06mn.), de capter l'énergie cosmique qui émane de l'étoile dont je vous ai
parlé hier, Aldebaran .
Pendant ce bref instant qui est de six secondes,
l'aiguille des heures (à 6h.) serait en contact avec les ondes telluriques qui
émanent du sol .
Ces deux forces fusionneraient dans l'axe des aiguilles, au
centre du cadran, pour rejoindre le balancier en cristal.
Cette énergie
considérable pourrait être capable en s'échappant de la rosace de cristal, de
régénérer les cellules du corps humain, et de ce fait rallongerait la vie pour
une durée identique.
Il suffirait à chaque fin de vie, de se mettre devant le
balancier, le jour voulu et à l'heure dite afin d'être irradié, et dans la
théorie, le propriétaire de l'horloge deviendrait immortel.
La
phrase de l'énigme codée prend effectivement tout son sens :
<< Quand
l'oeil verra ton heure ( l'heure de la mort ), les forces du ciel et de
la terre ( forces cosmiques et telluriques ) s'uniront au milieu du
temps ( cadran), pour t'apporter dans un éclair cristallin (
balancier), la puissance régénératrice ( énergie due à la fusion des
deux forces ) des êtres de lumière
( divinités ?
).>>
Ce
qui complète tout à fait l'autre phrase: << l'esprit
viendra d'en haut (Aldebaran), à l'heure exacte où les chiffres se
répètent
( 6h.6mn.6s.). >>
Mais ce qui nous intrigue le plus, c'est de
comprendre d'où sont tirées ces données et là, nous n'avons pas encore de
réponse.
Pour continuer mon exposé, je vais
maintenant vous donner la signification des dessins gravés sur l'horloge à
l'emplacement des heures.
C'est grace à Denis et aux
chercheurs rattachés au département d'astronomie que nous avons obtenu une
solution hallucinante.
Au premier abord, cela ne correspondait à
rien de connu, pas plus à du chinois qu'à d'autres langues que l'on a supposé
anciennes et asiatiques.
Ces représentations graphiques enregistrées en
informatique ont fait ressortir dans un premier temps des images que l'on a
pensé être des constellations, dont chaque point représenterait les
principales étoiles.
Suite à une étude plus approfondie, on s'est rendu
compte, à la grande stupéfaction des techniciens, que ces ensembles stellaires
étaient en réalité les signes du zodiaque, mais vus sous un autre angle que le
nôtre, c'est à dire d'une autre planète que la terre.
Or, il n'y a que onze
signes correspondant aux nôtres, le douzième étant différent.
Dans cette représentation pour
le moins stupéfiante, le signe du Bélier
est remplacé par
une constellation inconnue.
Le premier signe est celui du
Taureau, et l'on peut constater maintenant que l'on a la réponse, qu'à
la sixième minute de chaque heure, l'aiguille de l'horloge se positionne
exactement sur l'oeil de ce taureau
(Aldebaran).
Mais, pour continuer mes explications, les astrophysiciens ont
poussé plus loin leurs investigations; C'est ahurissant
!....
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Voici donc la suite de ce que nous avons
découvert:
En entrant dans l'ordinateur les données tel que nous les avons,
c'est à dire avec l'angle des constellations modifié, il est ressorti que
ce nouveau signe zodiacal inconnu serait composé d'un groupe d'étoiles dont on
ne trouvait pas la correspondance.
En persévérant dans les analyses
informatiques, il est apparu que ces points lumineux pourraient
correspondre à certaines étoiles connues, et que dans cette hypothèse, l'un
d'entre eux serait le Soleil.
Eh oui, nous avons la carte du ciel vue
d'ailleurs !
Il
semblerait, sous toutes réserves, que ce seraient les signes du zodiac vus du
système de Sheratan dans la constellation du Bélier
, raison pour laquelle ce signe ne figure pas.
Il faudra encore
quelques mois pour avoir une confirmation exacte, mais pour l'instant c'est une
hypothèse sérieuse.
Pour ce que je sais, l'étude astrophysique
des constellations dessinées sur le cadran de l'horloge, a démontré que les
lignes séparant les points, comme c'est le cas aussi sur un incunable roumain,
correspondraient à des zones ne subissant aucune attraction stellaire ou
planétaire, mais personne n'en comprend l'intérêt, hormis si l'on désire se
promener dans l'univers.
Voilà, mon exposé est terminé, et vous en savez
autant que moi.
Nadine vient de nous donner un complément
d'information qui demande un peu de réflexion, si l'on ne veut rien laisser au
hasard. Elle nous fait donc remarquer ceci: Du temps des égyptiens, les
signes du zodiaque existaient déjà, et il serait important de les rapprocher de
notre découverte, pour voir si l'on peut trouver des similitudes.
L'étoile
Sothis ( Sirius ) était le point de départ des années égyptiennes qui
commençaient à la mi juillet, comme les crues du Nil.
Les signes astronomiques chinois quant à eux, varient
en fonction des années, et elle pense personnellement que si l'on pouvait
prouver que les deux systèmes sont complémentaires, on obtiendrait peut être la
réponse à de nombreuses énigmes.
On n'a jamais vraiment étudié l'influence
que pouvaient avoir les étoiles sur notre planète en fonction de leur
éloignement et de leur magnitude.
On connaît les effets du Soleil, qui est
l'astre le plus proche, et de la Lune qui a une incidence importante sur les
marées de nos océans, et une recherche plus approfondie sur les signes du
zodiac, nous semble primordiale pour une meilleure compréhension des phénomènes
naturels et des croyances ancestrales qui se retrouvent toujours décrites comme
ayant un lien avec les étoiles.
Nadine et moi même avons trouvé un lien surprennant entre
mon horloge et une autre énigme que l'on nomme les têtes de cristal ou
encore, crânes de cristal; (pour
info)
Plus nous avançons dans nos recherches et
plus l'on constate qu'une civilisation bien supérieure à nous, serait à
l'origine de ces énigmes et pour laquelle le cristal aurait vraissemblablement
des pouvoirs que notre civilisation actuelle est encore loin d'imaginer
!
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Nadine voudrait attirer votre attention sur
le fait que les dessins que nous avons autour du cadran horaire sont des
représentations graphiques remontant apparemment à plusieurs millénaires avant
notre ère . Si cette supposition se confirme, ce serait bel et bien un début de
preuve, que d'autres civilisations très avancées sont venues sur terre il y a
quelques milliers d'années.
Ces graphiques que nous avons sur l'horloge, sont
des reproductions trouvées dans d'anciens manuscrits roumains d'origine
tziganes, qui sont eux même des copies d'originaux encore plus vieux, et qui
remontent peut être à l'origine de notre humanité, et dont on ne connait pas
l'auteur.
Toutes les explications que nous avons
obtenues par Sergeï concernant les différentes forces (telluriques et
cosmiques), les triades, la dualité, l'immortalité, etc..., font appel à des
connaissances importantes en sciences paranormales, qui étaient déjà connues par
les pharaons il y a plus de cinq mille ans, et par les hindouistes il y a huit
mille ans.
Celles-ci faisant partie d'une science extrêmement
complexe, il est absolument impossible que des individus de ces époques aient pu
imaginer cela.
On remarquera aussi que les écrits religieux
de toutes sortes ont été rédigés en tenant compte de ces notions, car celles-ci
devaient déjà être connues par tous les peuples de la planète.
Les moines
tibétains ont une connaissance excellente de cette science, qui me semble être
la plus proche de la Vérité d'origine, et c'est à cause de cela que je pense
qu'il sont encore en possession du livre original, qui paraît il, serait caché
dans une crypte au Tibet .
Nadine me disait qu'elle allait essayer
d'entrer en contact avec une homologue autrichienne, Ewa Geisler, qui est
beaucoup plus branchée qu'elle sur ce type de recherches.
Ewa est une femme
superbe de 35 ans, docteur en histoire et professeur à la faculté de Wien; Elle
est conservatrice de la bibliothèque nationale autrichienne qui est fort riche
en livres et manuscrits anciens de toutes sortes dont elle est une grande
spécialiste incontournable.
J'ai eu l'occasion de rencontrer la belle Ewa, et quand je
dit belle, le mot est faible !... Cette jeune femme toujours très chic avait
été manequin dans sa jeunesse et je peux vous assurer qu'elle a encore de sacrés
restes !...
(en résumé pour les hommes: c'est un super canon de 1,72m.,
véritable blonde aux yeux de braise, avec un corps à damner un
saint!...)
Bon, je continue sur notre
sujet !
Avec tout ce que
nous savons déjà sur le fonctionnement de mon horloge, il y a tout de même un
élément que nous n'avons pas encore trouvé !... Lequel, d'après vous ?....
Eh bien tout
simplement la date à laquelle la prochaine fusion d'énergie cosmique et
téllurique aura lieu !... Et je ne sais pas pour vous, mais pour mon cas je
suis drôlement intéressé par cette date afin de vérifier si par hasard je
pourrais profiter de cette découverte!...
Sergeï me disait l'autre
jour après que je lui ai posé cette question, que cette date dépendait entre
autre de l'emplacement de l'horloge. Effectivement, le cycle d'Aldebaran est
peut être de 111 ans, mais la date anniversaire pourrait varier en fonction de
la position du point fixe sur terre (en l'occurence, l'horloge).
Si le meuble
reste en place, cette date anniversaire est bien toujours la même tous les 111
ans, mais maintenant il va falloir refaire de savants calculs en informatique
pour vérifier le jour exact où l'alignement sera parfait, en fonction des
nouvelles coordonnées que vient d'acquerir mon horloge en se positionnant dans
mon salon.
Une fois cette journée déterminée, l'experience se
reproduira dans 111 ans, si je ne prends pas la décision de
déménager.
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Denis justement, est arrivé à obtenir quelques
renseignements complémentaires par un de ces collègues polonais, Vladimir
Labizdowski. Je ne peux pas vous certifier que ce soit son vrai nom, car
dans ce milieu les pseudonymes sont de mise !...
Ceci dit, il semblerait
que l'horloge originale dont il n'y a eu qu'un seul exemplaire, ait été réalisée
pour le compte d'un notable roumain de la province de Valachie.
Vladimir
Labizdowski affirmerait que ce personnage haut en couleur était un adepte de
sciences occultes et que c'est lui qui aurait fait réaliser cette horloge en
1435 d'après des plans qu'il aurait trouvés dans un vieux manuscrit roumain qui
relate la vie des Tziganes et leurs origines.
Une légende raconte que ce Comte Roumain se faisait appeler
Vlad Dracul par son entourage et qu'il serait à l'origine de l'histoire
de Dracula dont le comte de Saint Germain
s'est inspiré par la suite.
Or, il s'avèrerait
que les explications farfelues du Comte de Saint Germain concernant
l'immortalité, ne seraient pas des inventions poëtiques mais bel et bien la
réalité d'un phénomène dont il aurait eu connaissance et peut être même
expérimenté.
Toujours d'après l'agent spécial
Labizdowski, la conception de cette première horloge a été retranscrite par
l'ancêtre de monsieur Karlowitz, et ce sont ces plans et ces explications qui se
sont transmises de père en fils jusqu'aux alentours du XVIII° siècle.
Les
trois copies réalisées par la suite sont en fait trois originaux aussi, mais
réalisés à une date ultérieure.
Si
cela est vraiment le cas, me voilà donc propriétaire de la réplique exacte de
l'horloge de Dracula
!...
Nadine de son côté me fait savoir que la
légende de Dracula n'est pas un conte imaginaire et fabuleux comme on voudrait
le laisser croire, mais que cet individu a existé réellement aux alentours des
années 1400 et serait décédé en 1476.
Les archives, qu'elles soient françaises
ou roumaines, n'ont pas pour habitude de relater des contes ou des légendes
de quelque sorte que ce soit !....
C'était
effectivement un féru de sciences occultes et plus précisemment d'ésotérisme, et
l'histoire raconte qu'il serait réellement entré en contact avec le diable de
qui il détenait des pouvoirs qualifiés par le peuple de surnaturels
.
Son fils qui aurait hérité
des dons de son père, ou tout au moins de ses connaissances, aurait vécu d'après
les écrits plus de trois cent ans!
Aussi démoniaque que son père, ce dernier
avait la réputation d'être sanguinaire et c'est sans doute du fils et non pas du
père qu'est née la légende de Dracula, via les histoires du Comte de Saint
Germain.
On n'a jamais vraiment su d'où venait Saint
Germain, qui il était réellement et depuis quelle date il vivait, mais certains
historiens dont Ewa Geisler, émettent l'idée peut être pas si folle, que
Saint Germain serait un descendant de cet aristocrate roumain.
A cette réflexion,
Labizdowski répond qu'il n'est pas du tout impensable que le Comte de Saint
Germain soit d'origine roumaine et issu de cette famille, car il s'avère
que l'on perd trace des descendants de Dracula à cette même période, et pour ce
que l'on sait, il n'y eut qu'un seul garçon par famille héritière du célèbre
Vlad Dracul
.
Bon, là pour l'instant j'espère que vous suivez parce que l'on
a fini par avoir le fin mot de l'histoire !... C'est géant
!...
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Les dernières informations que j'ai eues par
Denis sont les suivantes:
Les dernières vérifications qui ont été faites avec d'autres
éléments confirment qu'effectivement cette horloge serait tout à fait capable de
capter l'energie cosmique et tellurique à un instant T
comme cela
est spécifié dans les ouvrages roumains.
Sergeï qui s'est renseigné de son
côté, lui aurait envoyé par mail un schéma apportant la preuve de cette
connaissance ésotérique.
Le KGB avait fait construire à l'époque, un
instrument qui faisait appel à ces connaissances et qui aurait fonctionné avec
succès, mais nous ne connaissons pas le nom des personnes qui auraient profité
de cette expérience.
C'est comme cela que Sergeï a pu enfin communiquer la
date de la prochaine conjonction avec Aldebaran: le 24 Juin 2079
!
Donc, pour moi c'est foutu !...
Ewa Geisler nous a confirmé qu'il y avait un lien entre la forme des pieds
de l'horloge et la Bible, car il semblerait que les initiateurs de
cette mécanique géniale soient effectivement des êtres venus du cosmos répondant
à ce descriptif.
Les
soit disant anges seraient ils tout simplement des extra-terrestres
?...
On retrouve trace de ces individus et de leurs
connaissances dans de vieux manuscrits chinois et indiens mais aussi dans un
ouvrage plus récent d'une dénommée Madame Héléna Pétrovna Blavatski
(Russie-30-07-1831).
Celle-ci explique dans son célèbre Livre de
Dzyan
, d'où elle détient les connaissances paranormales qu'elle a acquise ainsi
que le fonctionnement d'un appareil capable de rendre immortel la personne qui
en comprend le fonctionnement.
D'après Ewa Geisler,
le descriptif de cette mécanique correspondrait tout à fait à mon horloge, et si
cela était le cas, ce meuble aurait aussi une autre particularité qui n'est
décrite que dans un seul ouvrage au monde: Le fameux Livre de Dzyan
!
Mais Ewa nous apporte un
complément d'information qui peut être intéressant pour des historiens même
amateurs:
Ce
Livre de Dzyan que l'on retrouve avec Louis Jacolliot au XIX°siècle
sous l'appellation de Stances de Dzyan
, existait déjà 90 ans avant
Jésus-Christ.
Il avait déjà été décrit par Apolonius de
Tyane qui laissait sous-entendre à l'époque que ce manuscrit serait le plus
vieux du monde, écrit dans une langue inconnue, le Senzar
.
Dans les archives nationales
autrichiennes, Ewa a retrouvé des données concernant ce livre mystérieux, dans
un vieux manuscrit que la Wehrmacht aurait ramené suite à son occupation de la
Grèce.
Il semblerait que l'ouvrage d'origine en Senzar , pourrait se lire
par clairvoyance et ce serait ainsi que l'on aurait pu traduire les informations
qu'Ewa vient de nous faire savoir par téléphone et que je vous commente ci
dessous:
Ce manuscrit d'origine dont peut
être la Bible elle même serait tirée, remonterait à plus de 7000 ans mais ne
serait pas du tout conçu comme les vieux ouvrages habituellement retrouvés à ces
époques.
En fait, c'est en
apposant les mains sur les pages beaucoup plus épaisses et rigides que du
papier, que l'on peut percevoir dans l'esprit l'histoire qui y est
décrite.
Pour être plus précis, il s'agit en réalité de pages de 3/10 de
millimètre dépaisseur conçues dans une texture inconnue de nos jour mais qui
après quelques années de recherches a permis au moins d'en comprendre le
fonctionnement; Ces pages sont en réalité de complexes circuits imprimés dont
les connections sont les signes qui y sont gravés.
En touchant du doigt chacun de ces signes, le
contact s'effectue par l'intermédiaire des terminaisons nerveuses que nous
possédons et les informations enrégistrées remontent ainsi jusqu'à notre cerveau
qui permet de voir ainsi par clairvoyance
ce qui y est
décrit.
Le contenu de chacun de ces signes correspond à 15 minutes
de lecture et l'ensemble de cet ouvrage est en quelque sorte une mini
biblothèque contenant l'équivalent de 12 années de lecture non stop
.
C'est de cette manière que
madame Blavatski est arrivée à déchiffrer ces textes et entre autre à comprendre
le fonctionnement d'un appareil mystérieux qui s'y trouve
décrit.
Bizarrement, on retrouve ses explications dans des lettres rédigées
par le Comte de Saint Germain mais qui n'avaient pas attiré l'attention des
savants de l'époque puisque ce dernier avait été qualifié d'illuminé.
En
réalité cet appareil est un mécanisme d'horlogerie qui tiendrait compte de
différents paramètres et ferait appel à des connaissances que nous ne possédons
pas encore aujourd'hui.
Le centre d'études de physique
appliquée de BERLIN est arrivé à démontrer que cet appareil serait capable de
transformer des forces d'énergie en les absorbant par son axe central pour les
modifier physiquement à l'aide de la lumière pénétrant dans le cristal du
balancier. Il s'en suit une réaction en chaine de type nucléaire qui jaillit de
ce même cristal par simple multiplication des particules électriques de ces
énergies en fusion.
C'est ce que l'on nomme plus communemment l'energie
originelle qui est définie par les astro-physiciens sous le nom de big
bang!
C'est dans les livres grecs rapportés par la
Wehrmacht en Autriche, que nous avons obtenu les réponses aux questions que nous
nous posions. Toutes les notions subtiles et abstraites que nous avons survolées
prennent maintenant tout leur sens après avoir compulsé ces documents d'une
valeur inestimable.
Mais ces informations ouvrent aussi de nouveaux horizons
quant à la réalité de l'existence de données ésotériques encore opérationnelles
de nos jours.
En effet, les
croyances de l'antiquité font ressortir encore aujourd'hui comme par magie,
qu'il y aurait effectivement encore un lien occulte entre mon horloge et le
monde moderne dans lequel nous sommes en 2005.
A
notre plus grande stupéfaction, nous nous sommes rendus compte que l'énigme de
cette horloge recoupait certaines croyances grècques dont
Zeus
était le fil conducteur.
ZEUS: Dieu suprême de la Grèce
antique est fils de Cronos et de
Rhéa.
C'est le dieu de la voûte lumineuse du
ciel (et donc d'Aldebaran), des précipitations atmosphériques et de la
foudre.
Les légendes ont multiplié ses unions avec des déesses ou des
mortelles (?) vraisemblablement par l'intermédiaire d'une rosace de
cristal.
Voici donc un premier indice que nous trouvons dans mon horloge
!
Le second qui est le plus visible, fait
partie de l'habillage de ce meuble sculpté de poils avec des sabots dorés.
Là encore nous avons une allusion au dieu
Pan
!
PAN: Fils
d'Hermes et d'une nymphe, dieu de la fécondité, il est
généralement représenté cornu et barbu avec le bas du corp d'un bouc, ce qui
aurait souvent prêté à confusion avec le diable.
Mais c'est dans le fonctionnement même de l'horloge
que nous avons trouvé la solution qui relève de la magie noire ou tout au
moins de l'ésotérisme dans toute sa splendeur !
L'éclair cristallin qui jaillit de la rosace pour régénérer
les cellules et transformer le mortel en être de lumière est une allusion à
Apollon
!
APOLLON: ou
encore PHEBUS
; Ce très bel homme était le dieu grec du jour,
personnification du soleil, symbole de la lumière civilisatrice.
Fils de ZEUS et de
LETO
, il possédait divers pouvoirs et était aussi la divinité des
arts et des lettres.
C'est effectivement par les arts et
les lettres que la lumière a enfin jailli comme un éclair cristallin
en nous confirmant que la vérité
sortira de la bouche d'une nymphe !....
Mais il fallait encore comprendre qui était la nymphe
!...
Dans la mythologie grecque la seule
nymphe ayant un lien à la fois avec Zeus,
Pan et Apollon était
Daphné
!...
DAPHNE: Nymphe d'une grande beauté
poursuivie par Apollon et que
Zeus transforma en buisson de laurier pour la
soustraire aux désirs d'Apollon.
En effet, les textes
roumains confirment que : << Tel le buisson ardent, les flammes de la
gloire jailliront d'un Laurier dont une couronne d'or reviendra à
Daphné!....
>>
Esotérisme!..... Toujours ésotérisme ou simple coïncidence?....
Nous retrouvons ici la couronne de laurier
d'or des Romains à la suite d'un recit concernant l'antiquité grecque; Nous
avons vu des allusions aux croyances égyptiennes et à celles des Hindous et tout
cela dans des manuscrits Roumains qui relatent l'histoire des Tziganes qui sont
un peuple d'orgine Indienne !
Toutes les religions seraient-elles liées
?....
Auraient-elles une seule et même origine ?...
Maintenant je vais vous livrer enfin cette incroyable découverte,
à la fois diabolique et divine, mais qui prouve d'une manière irréfutable
que la vérité est bien ailleurs !... et pour cause
!....
Oui, en réalité cette vérité est bien ailleurs et la seule
chose que nous pouvons affirmer pour l'instant avec certitude, c'est que l'on
retrouve l'origine de cette horloge à la fois fabuleuse et démoniaque dans les
tableaux de l'abbé Saunière
.
Ce curé génial de
Rennes le Château
, avait trouvé un trésor, mais on ne sait ni comment ni où
!
A sa mort, la seule chose qu'il restait de cette découverte, ce sont les énigmes
qu'il a laissé volontairement trainé dans l'eglise et dans les alentours
!
Le hasard voudra que l'histoire se recoupe, et c'est avec l'aide
d'une amie, la baronne Hilde von Hohenburg que nous en retrouverons trace en
Autriche.
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C'est en discutant de chose et d'autre, que
la discussion en est venue à cette horloge, et après avoir montré quelques photos
à mon amie Hilde, celle-ci a tout de suite vu la relation qu'il pouvait y avoir
!
Il existe une représentation de mon horloge ainsi que celle
d'un tableau de l'abbé Saunière dans un recueil d'objets rares intitulé Der
Weisses Rössl Museum
du Baron Kurt von Häker (éditions Dunkel Buch).
Je ne sais pas si je vous avais déjà dit que Nadine et moi
faisions des recherches sur l'énigme de Rennes le château et c'est en fouillant
dans les indices de l'abbé Saunière que nous sommes tout naturellement tombés
sur le tableau de Nicolas Poussin, Les bergers d'Arcadie
.
Nadine a trouvé un lien avec un autre tableau du même
artiste: La vision de Sainte Françoise Romaine
.
On connaît La Vision de Sainte Françoise Romaine
peinte par Nicolas Poussin vers 1657 (format
125x102) qui se trouve au Louvre, mais on connaît moins la deuxième version,
peinte en 1666, d'un format plus petit (100x81) et qui fait partie de la
collection privée du Baron Kurt von Häcker.
Bien que le format soit plus
petit, Nicolas Poussin a reproduit très exactement son premier tableau, qu'il
avait d'ailleurs encore en sa possession à cette date-là et tellement
ressemblant que jusqu'au début du XXe siècle on n'y trouva aucune différence…
jusqu'au jour où on l'a examiné aux rayons X (à la demande d'une compagnie
d'assurance) et qu'on a décidé de le nettoyer.
C'est alors seulement qu'une
différence apparut : dans les ombres fantomatiques qui s'éloignent de Ste
Françoise, on peut voir une pendule semblable à la mienne !
C'est d'autant plus intéressant que Nicolas Poussin est
coutumier du fait. Il est déjà à la base du mystère de Rennes le Château avec
son fameux Bergers d'Arcadie et la devise gravée sur le tombeau,
<< Et in Arcadia ego >>
a déjà fait couler beaucoup
d'encre.
C'est par Hilde von Hohenburg que Nadine et
moi même, sommes arrivés à entrer en contact avec le Baron von Häker qui nous a
donné les explications ci-dessous ainsi que les photos que je possède et qui
sont tirées du livre Der Weisses Rössl Museum
.
Kurt von Häker nous a fait savoir que ses ancêtres étaient
depuis l'origine, les gouverneurs du château de Hall im Tirol
(Autriche), et qu'ils avaient toujours collectionné les objets qui étaient
fabriqués dans ce lieu mythique. C'est dans ce château qu'ont été coulées les
premières pièces de monnaie du monde et pendant très longtemps, celle de
l'Europe toute entière.
Petit à petit, les Häker se sont
mis aux oeuvres d'art de toutes sortes et c'est ainsi qu'ils ont fini par
acheter des tableaux de maîtres. L'argent n'étant pas un problème, ils n'ont pas
hésité à demander à certains artistes de reproduire des toiles qu'il
n'arrivaient pas à obtenir, comme c'était le cas pour La vision de Sainte
Françoise Romaine. Ainsi naissaient les fameuses vraies copies de
la collection Häker !....
La représentation de l'horloge est en
réalité une création qui aurait été réalisée par Monsieur Steinach (horloger à
Innsbruck) à la fin du XVIII° siècle d'après L'horloge de Blanchefort
, un autre tableau de Nicolas Poussin curieusement
ressemblant à celui cité ci-dessus et proriété de la famille Häker.
L'artiste
l'aurait
peinte d'après un desccriptif trouvé dans un ouvrage mais dont on ne connait
pas l'origine !...
Ce qui est assez intrigant c'est que la
ressemblance entre la photo et mon horloge est impressionnante de réalisme, mais
quelques différences subsistent néanmoins.
Mon horloge est sculptée entièrement
du haut jusqu'en bas et non pas seulement les pieds !
Mon cadran horaire ne
comporte aucun chiffre, mais des signes sont gravés dans le bois autour de ce
cadran ! Le balancier de mon horloge est une rosace en cristal.
Je pense ne rien avoir oublié si ce
n'est que nous savons maintenant avec certitude que l'Abbé Saunière a bien été à
un moment donné en relation avec certains membres de l'aristocratie
autrichienne, puisque dans le recueil des merveilles du Weisse Rössl
Museum, on peut y voir quelques objets en or vraissemblablement d'origine
Wisigoth et dont la provenance est clairement
définie: Magdalena Kirche
/ Rennes-le-château- / süd
Frankreich.
Voilà, tout ce que je viens de vous raconter jusqu'ici est
un tout petit extrait de mon roman la planète
démasquée
, légèrement revu et corrigé pour les besoins du feuilleton, qui
avait été réalisé pour un forum d'auteurs.
Tout le monde sait qu'un roman
est un ouvrage de fiction, mais y aurait-il par
hasard dans tout ceci un petit fond de vérité ?...
Qui sait
?...